Les Démichels, une lignée de forgerons

Pendant longtemps ces bâtiments ont abrité une forge. C’est en 1741 qu’apparaît le nom de Démichel auquel est accolé le qualificatif de maréchal-ferrant. Dès lors, ce sont six générations de Démichel qui se succèderont dans la forge familiale. Pose des fers aux vaches qui assuraient à l’époque la traction des engins agricoles, fabrication et réparation d’outils, de pièces métalliques, autant d’activités auxquelles s’ajoutera plus tard la distribution de carburant. La disparition progressive des petites fermes familiales sonnera le glas de ce précieux artisanat.

C’est le moment que choisit Jean Démichel pour ouvrir un atelier à Egletons consacré à la ferronnerie et la chaudronnerie, atelier qui subsiste encore aujourd’hui malgré la disparition de son créateur.

Le métier de forgeron :

il pouvait se confondre avec celui de taillandier et de maréchal-ferrant. Tout dépendait des produits fabriqués : outils agricoles et tranchants ou des fers pour les bovins et les chevaux. Le forgeron travaillait soit dans sa boutique ouverte sur une rue avec une forge au charbon soit à l’extérieur pour le ferrage des animaux. Les enseignes en fer des forgerons ou artisans des métaux installées sur les bâtiments s’appelaient « bouquet de saint Eloi ».

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